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Le saviez-vous ?
La curcumine contenue dans Flexofytol® a été étudiée scientifiquement en double aveugle contre placebo.
La curcumine contenue dans Flexofytol® a été étudiée scientifiquement en double aveugle contre placebo sur 150 personnes. L’étude s’est déroulée dans 11 centres belges, dont plusieurs centres universitaires. Il ressort de cette étude que la curcumine :
- contribue à maintenir la souplesse des articulations ;
- aide à préserver le cartilage en bonne santé ;
- aide à conserver une bonne mobilité ;
- présente une excellente tolérance.
Retrouvez l’étude complète ici : https://arthritis-research.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13075-020-2108-3
Flexofytol® peut être utilisé aussi par les personnes âgées polymédiquées et présentant des comorbidités.
La tolérance de Flexofytol® a également été étudiée auprès de personnes âgées polymédiquées* et présentant des comorbidités.
C’est particulièrement intéressant quand on sait que les solutions traditionnelles ne peut être utilisées que sur la durée la plus courte possible et présentent de nombreuses contre-indications.
*De Breucker et al. Open Journal of Rheumatology ant Autoimmune Diseases, 2017, 7, 167-177
Le saviez-vous ?
Plus d’un belge sur 5 souffre de rhumatismes.
Dans le monde, on estime qu’en 2050, 315 millions d’humains de plus de 60 ans souffriront de troubles articulaires et que cela sera la cause de handicap sévère chez 105 millions d’entre eux.* En Belgique, plus d’une personne sur 5 souffre de rhumatismes, ce qui représente environ 800.000 belges. On estime qu’en 2050, ils seront 1,4 million. Au-delà de 65 ans, cela concerne même 1 personne sur 3.
* Fondation Arthrose. L’athrose, elle nous concerne tous ! [en ligne]. [Consulté le 03/11/2021]. Disponible à l’adresse: http://www.fondationarthrose.org/La-fondation/Intro.aspx
La curcumine et le boswellia font désormais partie des recommandations internationales OARSI pour la prise en charge des troubles articulaires.
Depuis 2019, le curcuma et le boswellia serrata ont intégré les recommandations OARSI* (Osteoarthritis Research Society International). La prise en charge de 1ère ligne reste l’éducation ciblée sur les troubles, la pratique d’une activité physique en ce y compris les programmes d’exercices à visée thérapeutique, et si nécessaire, la gestion du poids par des mesures diététiques.
* Bannuru et al. Osteoarthritis and Cartilage, Vol. 27, Issue 11, November 2019, Pages 1578-1589
L’association curcuma-boswellia est aussi intéressante pour les sportifs.
Plusieurs études ont démontré que la curcumine et le boswellia, pris avant et/ou après un effort physique, permettaient une récupération plus rapide et améliorait les capacités fonctionnelles lors des entrainements ultérieurs*.
* Drobnic et al. Journal of the International Society of Sports Nutrition 2014, 11:31 • Tanabe et al. Scand J Med Sci Sports. 2019;29:524–534 • Mc Farlin et al. BBA Clinical 5 (2016) 72–78 • Buhrmann et al. J Biol Chem. 2011;286:28556-28566 • Riva et Al. European Review for Medical and Pharmacological Sciences 2017; 21: 5258-5263. • Étude observationnelle en collaboration avec l’équipe Lotto Soudal • Sanchez et al. Osteoarthritis and Cartilage, Vol. 28, S120 • Schoenfeld. Sports Medicine 42(12). September 2012 • Riva et Al. European Review for Medical and PharmacologicalSciences 2017; 21: 5258-5263.
Il ne suffit pas de mettre du curcuma dans ses plats pour profiter de ses bienfaits.
Glisser du curcuma dans vos plats ne sera pas suffisant pour profiter de ses bienfaits : en effet la curcumine, principal actif du curcuma, n’est que très peu résorbée par notre corps. Il est dès lors nécessaire de privilégier les formes exclusives car elles ont prouvé leur intérêt scientifiquement.
On associe souvent curcuma et poivre noir, ce n’est pourtant pas une si bonne idée.
La pipérine, principe actif du poivre noir, est réputée pour augmenter l’assimilation de la curcumine dans le sang. Cependant, l’augmentation de l’assimilation est relativement faible (environ 7x) et des doses importantes doivent être consommées pour profiter de cette augmentation de biodisponibilité.
De plus, la pipérine peut aussi engendrer des effets néfastes :
- La pipérine va inhiber le métabolisme et l’élimination de toutes sortes de toxines au niveau de l’intestin et peut alors être à l’origine d’interaction médicamenteuses, engendrer des allergies alimentaires ou des intolérances.
- La pipérine doit être prise à des doses modérées en raison de son caractère fort irritant pour le système digestif.